18 juin 2009
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17:12
En extérieur..., dans un espace infini..., sans limites où l'horizon
n'est qu'une immense tache impalpable...
Alors il faut projeter... tout..., la voix, l'expression, le geste...
Le rapport à l'autre n'est plus le même, nos marques sont balayées par le vent,
nos voix cachées sous le bruyant brouillard urbain, la chaleur étouffante de ce Juin
brouille nos envies et écorche notre volonté.
Un goût amer se propage dans notre bouche mais excite notre appétit.
Entourés de tags, sous une verrière branlante, devant une usine désaffectée,
oui, nous sommes bien à quai.
Après l'avoir imaginé, nous marchons désormais sur les pas de notre propre utopie
et une affirmation songée vient doucement bercer notre écoutille...
oui, on ne peut être comédien sans comprendre le verbe "s'adapter"!
n'est qu'une immense tache impalpable...
Alors il faut projeter... tout..., la voix, l'expression, le geste...
Le rapport à l'autre n'est plus le même, nos marques sont balayées par le vent,
nos voix cachées sous le bruyant brouillard urbain, la chaleur étouffante de ce Juin
brouille nos envies et écorche notre volonté.
Un goût amer se propage dans notre bouche mais excite notre appétit.
Entourés de tags, sous une verrière branlante, devant une usine désaffectée,
oui, nous sommes bien à quai.
Après l'avoir imaginé, nous marchons désormais sur les pas de notre propre utopie
et une affirmation songée vient doucement bercer notre écoutille...
oui, on ne peut être comédien sans comprendre le verbe "s'adapter"!